mardi 9 mars 2010

Au revoir.

Machenka s'en va, elle a chiné un joli objet sur la toile, l'a adopté et part avec sous d'autres cieux internetesques.

Merci aux lecteurs d'ici, à ceux du réel, ceux du virtuel, et ceux de l'ombre, c'était une jolie aventure, un rêve sympathique.

Continuez bien...

lundi 22 février 2010

Ailleurs.


Où, je ne sais pas encore.
Je vais quitter ce blog, qui reflétait une période de ma vie bien heureuse, qui n'est plus. Les choses ont changé, et je me trouve ici au milieu de trop de choses que je préfère laisser derrière moi, quitte à me les remémorer doucement plus tard.
Je suis donc en quête d'un autre espace de la toile, à emménager à mon goût pour continuer à y raconter les nouvelles aventures de Machenka dans le monde (rien que ça, oui), y poster des photos, et raconter des débilités si ça me chante...
Au revoir, ici.

lundi 8 février 2010

Vagues.


Fiou, en ce moment, c'est compliqué, mais alors compliqué.

Ma vie ressemble un peu à cette fête foraine fantôme sous la pluie anglaise: un tourniquet des amours fermé: on repassera, ou pas...un toboggan des études qui descend très vite (en vous mouillant les fesses), des vagues, une jolie théière qui promet des moments de réconforts avec de vieux potes, fermée elle aussi, (définitivement pour certains convives, et c'est pas plus mal: après tout, c'est dans ces moments là qu'on se rend compte où sont nos vrais amis), et si vous avez un petit creux, mangez donc du gras: bon, ça c'est une blague, parce que j'ai plutôt la déprime amaigrissante, et c'est pas plus mal, n'empêche, je ne cuisine plus; j'ajoute que l'horizon n'est pas droit et que mes ongles se sont mis à se dédoubler, même si ils ne sont représentés par rien sur la photo, ah, si, on aura qu'à dire que mes ongles, c'est les deux mamies près du réverbère.

Voilà voilà, maintenant que je me suis répandue en plaintes impudiques, sachez que je ne vais pas mourir tout de suite parce que:

J'ai toujours une chouette famille, et de vraiment supers amis, qui, même si ils sont relativement "neufs", sont mieux que mes vieux; de plus, tous ces gens me donnent à manger et ne me fuient pas quand je fais une tête de six pieds de long ou que j'oscille entre rire et larmes; la musique est toujours là, et aussi le joli spectacle, des envies d'auditions aussi, et un lit confortable, ainsi que de bons bouquins, un peu plus de ciné, un retour à la DS (Nintendo, pas la voiture, à bon entendeur), et une envie de chaussures quasi importables, mais vraiment soldées, plus que pour deux jours, même que ce ne serait pas raisonnable, là, vu les circonstances mais que je sens venir le craquage...

Vous voyez, tout n'est pas perdu... à bientôt.

dimanche 31 janvier 2010

La petite jardinière.

Je reviens de Rouen, où nous avons joué dans un chouette festival.
Là bas, j'ai rencontré une petite demoiselle, qui le jour semblait vouloir ranimer des fleurs mortes avec son arrosoir vide:


Le soir venu, elle avait réussi, et ses boucles d'oreilles scintillaient de joie devant la vitalité des tournesols de feu:

mardi 26 janvier 2010

Santé !

J'ai retrouvé dans les papiers de ma grand-mère cette fabuleuse recette, écrite de mes petites mains.

Elle n'est pas datée, mais je ne devais pas être bien vieille au moment où je me suis appliquée à recopier les instructions pour réaliser ce breuvage qui m'a l'air... hum... fameux ?
Quelle bonne idée, de faire macérer des fruits dans du lait et de l'alcool à 90°, avec 1/2 tonne de sucre, voilà une préparation qui ravira sans doute le palais de tous les amis à qui je vais préparer cette délicieuse liqueur (comment vous vous demandez avec inquiétude si vous faites partie de mes amis?).

Au moins, me voilà sûre que mon goût d'un bon petit verre derrière la cravate ne date pas d'hier ^^.

dimanche 24 janvier 2010

Répétition générale.


Depuis les fauteuils rouges, cette fois-ci. Le War Requiem de Britten, l'autre soir à Pleyel, des solistes superbes, bien sûr, de la très belle musique.

mercredi 20 janvier 2010

Doudou-chat...


Mon moral semble être parti visiter des contrées bien lointaines, et ne reviendra peut être pas de sitôt. Heureusement, la Plume ne quitte pas mes genoux dans ses cas là, et me réchauffe un peu.